A la suite de l’annonce d’une enquête de l’Europe sur les pratiques de Temu, la société nous fait parvenir un droit de réponse.
« Temu prend très au sérieux ses obligations en vertu de la DSA. Nous investissons continuellement dans le renforcement de nos procédures de contrôle de la conformité des produits vendus sur notre plateforme, afin de garantir les intérêts et la sécurité de nos clients. »
« Nous coopérons ainsi pleinement avec les régulateurs pour soutenir notre objectif commun d’un marché sûr et fiable pour les consommateurs. »
« À cette fin, nous sommes notamment engagés dans des discussions afin d’adhérer au ‘Memorandum of Understanding (MoU) on the sale of counterfeit goods on the internet’, un accord volontaire facilité par la Commission européenne, qui allie les acteurs majeurs du e-commerce en Europe et les titulaires de droits (de biens dont des versions contrefaites et piratées sont vendues en ligne) dans la lutte contre le référencement de produits contrefaits sur les plateformes. »
« La contrefaçon est un problème qui touche l’ensemble du secteur, et nous pensons que des efforts de collaboration sont essentiels pour atteindre nos objectifs communs de protection des consommateurs et des détenteurs de droits. »
Le « Memorandum of Understanding (MoU) on the sale of counterfeit goods on the internet » est un Protocole d’accord sur la vente de produits contrefaits sur Internet.