La radio publique française Radio France, également leader sur les podcasts, migre son logiciel de gestion d’entreprise SAP S4/Hana vers un hébergement dans le Cloud Azure de Microsoft. Le logiciel SAP chez Radio France sert à la gestion des paies, des fournisseurs et des achats.
Objectif de gain de performance et d’optimisation des coûts
La migration vers le Cloud doit apporter à l’entreprise un gain de flexibilité, de performance et une optimisation des couts d’infrastructure. Le projet est mené avec Orange Business Services. Suite à un appel d’offres mené par Radio France, Orange Business Services est chargé de la migration et de l’infogérance de l’application critique ERP SAP S4/HANA vers le Cloud public Microsoft Azure.
Le service de bout en bout assuré par Orange Business Services inclut la sécurisation de l’architecture globale, l’optimisation des coûts ainsi que la mise en œuvre d’un plan de reprise d’activité post-migration. Ce plan est prévu pour garantir des temps de rétablissement optimaux et permettant de répondre aux enjeux de Radio France en matière de continuité d’activité et limitant les impacts pour les équipes métiers.
Gagner en sécurité et bénéficier des avantages du Cloud public
« Avec cette solution, nous bénéficions, pour ce logiciel, de tous les avantages du Cloud public, notamment en matière de sécurité, qui auront indéniablement un impact positif sur notre modèle opérationnel » explique Patrick Fasso, Directeur Technique et des Systèmes d’information chez Radio France.
Orange Business Services a conçu une solution sur mesure, notamment à travers une architecture optimisée techniquement et financièrement. L’objectif était de limiter au maximum les impacts sur les processus métiers de Radio France, tout en répondant concrètement à l’enjeu crucial de transformation du modèle opérationnel du groupe. Côté Orange, le projet était géré par Cédric Parent, directeur général adjoint des activités Cloud d’Orange Business Services.
Radio France migre son SAP S4/Hana vers le Cloud Azure de Microsoft
Le bâtiment de Radio France © Radio France Christophe Abramowitz