Datagram est une plateforme de « Data Analytics », analyse de données, basée sur l’extraction à très grande échelle de la donnée du web. Cette donnée est transformée pour en faire des outils d’optimisation commerciale, marketing et de production.
Un crawling en quelques minutes
La donnée du web est pléthorique donc difficile d’en faire faire émerger des « insights », analyses, performantes pour une entreprise. Datagram vise à accélérer et à simplifier l’accès à l’information.
En distribuant tous les processus sur leur infrastructure propriétaire, le « crawling », l’exploitation, des données se fait en quelques minutes, le traitement et l’analyse des données en quelques secondes. A ce jour, Datagraml indexe particulièrement les sites de e-commerce pour ajuster leur politique tarifaire en temps réel afin d’accroître les parts de marché, pour un distributeur. La plateforme compte parmi ses clients plusieurs groupes industriels internationaux tels que PepsiCo et Unilever.
De même, il sert à optimiser les facteurs clés du référencement digital, pour une marque. Il permet de réévaluer ses produits financiers sur les cotes des biens de consommation, pour une assurance, et il est employé dans plusieurs autres cas d’usages.
Des outils lisibles et accessiblesL’ambition de Datagram est de devenir un acteur référent dans le traitement et l’analyse des données web en proposant des outils lisibles et accessibles au service du commerce.
En résumé, Datagram est une plateforme de datascience-as-a-service ciblant les industriels et le secteur de la grande distribution qui veulent doper leurs ventes et augmenter leur rentabilité. La plateforme, repose sur une architecture distribuée et des algorithmes de Machine Learning.
Cette plateforme analyse en temps réel les données des canaux online, drive et commerce : prix et disponibilités géolocalisées, Web Analytics, campagnes media, pour apporter des solutions de Category management, de personnalisation de parcours d’achat, de pricing etc.
La startup a été fondée en 2013 par Mohamed Ali Ben Aleya, ingénieur de l’Ecole Centrale Paris, et compte aujourd’hui sept collaborateurs dont cinq travaillent à la R&D.