Une dizaine de boutiques parisiennes de l’opérateur Orange testent depuis quelques mois des étiquettes électroniques couplées à un assistant vocal. Les clients peuvent ainsi s’informer de manière interactive sur des caractéristiques des produits.
La domination de Google et Facebook inquiètent les annonceurs. Certains se tournent donc vers la publicité des distributeurs, comme Amazon et Cdiscount, dont l’atout est la disponibilité de données transactionnelles et une meilleure mesure de la performance.
Le constructeur automobile PSA a déployé sur 80% de ses sites de production de 10 pays des équipements RealWear permettant aux techniciens de collaborer en temps réel sur les chaînes d’assemblage.
Lors du CES 2020, L’Oréal a présenté Perso, un système pour la maison qui délivre une dose de crème pour le visage en exploitant différentes sources de données et l’intelligence artificielle.
Le fabricant français d’électroménager, propriétaire de différentes marques comme Moulinex, Rowenta, Krups ou Tefal, n’a plus besoin d’être convaincu du potentiel des offres média des grands distributeurs.
Face au mouvement de protestation, Casino a renoncé provisoirement à l’ouverture le dimanche d’un hypermarché reposant à 100% sur des caisses automatiques. Le groupe maintient cependant son expérimentation qui concerne 123 magasins.
D’après le classement Kantar des investissements publicitaires sur Facebook en France, Netflix, Free et McDonald forment le trio de tête des annonceurs en 2019 sur le réseau social.
Chez Intersport, on se satisfait sans trop de peine de grandir à l’ombre de Décathlon, plus connu des consommateurs dans les métropoles, et première enseigne de sport en France devant Intersport (2e devant Go Sport et Sport 2000). Le numéro 1 du secteur est bien néanmoins dans le viseur de l’entreprise, qui rattrape son retard à pas de géant.
Carrefour poursuit ses investissements dans l’e-commerce alimentaire en prenant 60% du capital de Dejbox, spécialisé dans la livraison de repas aux salariés des entreprises.
Dans Nature, des chercheurs, notamment de Google et DeepMind, publie leurs travaux autour du développement d’un modèle d’intelligence artificielle permettant d’améliorer la détection de cancers du sein grâce à l’analyse de radiographies.
